Pourrions-nous, lecteur, d'un commun accord sceller nos vies ? Cet ouvrage que je m'apprête à t'offrir, n'est en effet rien d'autre qu'un miroir esquinté. D'abord mien, il n'est nulle autre façon de lui rendre hommage que de le faire tien. Ainsi, pourras-tu ressentir en ton sein, la douleur d'être, celle d'une existence à laquelle tu ne pourras jamais te soustraire. Car il n'y a qu'au crépuscule d'une vie de misère, que les maux s'évanouissent dans l'héritage des mots.
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