
Je me souviens, de ces journées, si belles, si fraiches et mirobolantes, aux doux parfums de l'air du printemps, accompagnées du gazouillis des oiseaux, berçant les fleuves, et les feuilles passantes. En ces jours si uniques, le brouhaha des passants devenaient un champ plaisant et audible, dont les ragots futiles se dotaient de louanges utiles. En ces journées si belles, si fraiches et mirobolantes, peut-être me sentais-je si vivant !All Rights Reserved