Les couloirs sont couverts d'eau. De la rouille, peut-être... quoique c'est un peu rouge vif, pour être de la rouille- J'arpente le couloir aux carrelage diaphane... Quelqu'un a la respiration erratique, de l'autre côté de ce mur... non ? Et là, je vois- «Lauryn- » Une charogne difforme, à terre- Attends !... Tout ce cruor étalé sur le carrelage diaphane et dans ses cheveux, mouillés et teintés d'un rouge dont les propriétés froides viennent de l'heure sépulcrale, recouvraient sa tête.