Cette histoire parle de Maria qui a subi le racisme. Le jour où elle arrive à l'école avec les mains tatouées au henné, Amina devient la cible des préjugés et railleries de ses compagnons de classe: Sandrine, Mathilde, Nathan, Clara, qui affirment que « les Arabes battent leurs femmes et les obligent à porter un voile » ou encore que ce sont des terroristes. Sauf Jasmine qui aimait Maria pour ce qu'elle est. Amina a de la peine : elle se sent différente et incomprise. Sa mère Mimina la console en lui racontant l'histoire du "Vilain petit canard" pour lui démontrer que la différence effraie à tort de nombreuses personnes, et lui propose d'aider les autres peu importe ce qu'ils pensent d'elle. C'est ainsi qu'un jour, Sandrine, une étudiante, qui traitait Maria de terroristes, arabe, etc...tomba gravement malade. Seule Maria l'a soutenu dans ses moments difficiles par les visites à l'hôpital et prières. Peu à peu, Sandrine guérit et va parler à ses amies d'arrêter leurs comportements racistes. Finalement, Maria apprendra à se faire respecter et, surtout, à se faire aimer pour ce qu'elle est.
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