J'ai un problème avec les secrets.
Je ne sais pas comment vous donner envie de lire ça.
Alors, je vais vous donner envie de ne pas le lire :
- J'ai écrit ça en 2014, j'avais 12 ans
- J'ai succinctement relu le texte et corrigé les fautes (ce qui ne veut pas dire qu'il n'en reste pas) et je n'ai rien reformulé. Depuis 7 ans. Haha.
- Fût un temps où cela s'intégrait dans une histoire plus longue, qui depuis a subi les foudres de mon non-assumage et de mon tri dans mes dossiers.
- Je ne me souviens plus de quoi ça parle. Ne me demandez pas d'explications, je ne sais pas.
- Jusqu'à il y a 24h, cela s'appelait encore "test 2".
- J'ai très certainement écrit ça lors d'une insomnie, assise au bord de ma fenêtre, pendant un orage. Au fond de moi sommeille une émo refoulée.
- Mes personnages n'ont pas de prénoms.
- La fin est frustrante.
- Il n'y a pas de phare dans l'histoire. J'avais juste la flemme de chercher une image jolie et libre de droit qui évoque un orage de nuit, alors j'ai puisé dans mes photos. J'ai pris celle-ci à Chassiron le 25/07/20 et j'ai eu la flemme de la retoucher. Elle est à peine rognée correctement. C'est cadeau.
La liste étant déjà suffisamment longue, voici les raisons pour lesquelles vous pourriez quand même avoir envie de lire ceci :
- Cela fait 1279 mots. C'est rapide. C'est court. C'est mon record.
- J'ai reçu récemment, à 23h59, un mail avec plus de 10 lignes argumentant vaillamment pour que je poste ce texte, conclu par, en police quarante douze mille et en rouge, cet ordre sans équivoque : "BREF, PUBLIE LE !" de la part de @UnUniversAuHasard (et vous savez comme elle est nulle pour argumenter, alors c'est pour dire).
Voilà.
A vous de peser le pour et le contre.
Si vous lisez, je veux vos avis, j'ai hâte de rire.
Bisous.
(PS : vous connaissez peut-être la moi insupportable d'aujourd'hui, vous allez rencontrer la moi insupportable et désabusée d'il y a 7 ans. Je n'ai pas provoqué le covid, jvous j