Nul ne sait ce qu'il s'est réellement passé... Ce soir là, le vent glacial frappait, les feuilles des arbres jouaient et le chant du hiboux au loin accentuait la douleur. Les bruits de pas venaient doucement, tandis qu'il m'était impossible de bouger, comme paralysée par je ne sais quelle force. Lentement, je perdais à nouveau connaissance, les pas de plus en plus audibles devenaient soudain bien plus lointain. Finalement... le néant.