Asad était en train de frapper le mur en béton. Ses mains étaient en sang. Il cognait de toutes ses forces. - Asad..., marmonnais-je. Il ne réagit pas. Je lui touchai l'épaule et par un geste d'une violence inouïe, il attrapa mon poignet et me jeta contre le mur que mon dos rencontra salement. Je serrai les dents, essayant de refouler cette douleur saisissante. [...] Horaires de publication : tous les mercredis et samedis (si je peux). DituogrAll Rights Reserved