"Il existe quelques sujets capables de me faire chialer. La mort, l'innocence, et le passé. Ce qu'ils ont en commun ? Une fois partis, ils ne reviennent jamais."
Un joli petit parc d'attractions.
"Ne vous fiez pas aux apparences ; elles sont trompeuses."
Ceux qui fuient sont une vingtaine. Ceux qui poursuivent sont quatre.
"Le Destin en a décidé ainsi. Et le Destin, dans ce monde, c'est moi."
Les cadavres s'enchaînent, les uns après les autres.
"La vie est une torture et la mort, la délivrance."
Nos souvenirs sont effacés. Et le jour, où nous les retrouvons tous, est en fait notre dernier jour, dans ce parc d'attractions.
"Le malheur aurait moins de valeur sans le bonheur."
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/!\ Attention /!\
Cette histoire peut contenir du sang, des meurtres, certaines formes de violence et d'autres sujets sensibles, mais bien plus, vous allez devoir vous habituer à lire les larmes aux yeux tellement c'est drôle (et en même temps touchant).
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C'est écrit sous forme "théâtrale", mais c'est plus un scénario que je compte dessiner un jour.
Chaque partie peut être lue indépendamment des autres, même si elles sont toutes liées.
On retrouve toujours : la mort, l'humour et l'amour.
"Chaînes Invisibles"
Qu'est-ce qui nous lie vraiment ?
Est-ce l'amour, la famille, ou la société ?
Elle et Lui vivent une passion dévorante, mais leurs cœurs sont prisonniers de chaînes que personne ne peut voir. À travers leurs regards, leurs luttes et leurs promesses, ils découvrent que la liberté ne s'obtient qu'en affrontant les peurs, les attentes et les secrets qui les enserrent.
Ensemble, ils cherchent à briser ces chaînes, même si cela les consume.
Un roman poignant qui explore le poids de l'héritage, le pouvoir de l'amour, et le courage qu'il faut pour s'émanciper de ce qui semble inévitable.
« On a tant abusé du regard dans les romans d'amour qu'on a fini par le déconsidérer. C'est à peine si l'on ose dire maintenant que deux êtres se sont aimés parce qu'ils se sont regardés. C'est pourtant comme cela qu'on s'aime et uniquement comme cela. Le reste n'est que le reste, et vient après. Rien n'est plus réel que ces grandes secousses que deux âmes se donnent en échangeant cette étincelle. »
Victor Hugo.