Le noiraud cessa de caresser les touches du piano une fois que son regard croisa le mien, il se leva et s'éloigna du fauteuil sur lequel il était confortablement installer. Sa grande silhouette ne se fit pas prier et se rapprocha dangereusement de moi jusqu'à ce que je ne sente son aura m'encercler. Il posa deux doigt sur mon menton comme pour m'inciter à lever le visage vers lui. - Regarde moi, murmure t-il Je leva mon visage et croisa ses iris rouge foncé qui m'obsède tant, par réflexe je me mords la lèvre sentant le stresse du danger s'épanouir en moi et je sens son pouce venir me caresser les lèvres à la suite de mon acte qui a dû attirer son attention. - Je veux être le premier et le dernier à gouter à ces lèvres, dit il en exerçant une pression sur ces dernières