« Dieu savait. Il savait que s'ils finissaient la tour, alors... les humains pourraient L'oublier complètement. » L'illusion de pouvoir choisir son destin, d'être autre chose qu'un simple rouage dans la sinistre machinerie de ce jeu... Une carotte qui se balance au bout d'une ficelle, tendue par des bourreaux à un troupeau d'enfants affamés. Il ne sert à rien de pleurer, il ne sert à rien de prier. Dieu n'écoute pas. Dieu profite du spectacle. La seule constante qu'il leur reste, c'est la vérité. Ils attendent que s'ouvrent les portes qui les mèneront à leur jugement. Et la chute du couperet du destin. Trouver le meurtrier pour éviter d'être tué soi-même, le principe est simple. Tous les joueurs sont rassemblés. Le procès peut commencer.
55 parts