Page du destin

Ce qui est perdu une fois est perdu à jamais.
Accepte la mort de faire cadeau, qu'à celui qui daigne accepté.
Savoir être un monstre, c'est savoir faire confiance à qui tu ne dois pas.
Un pouvoir n'est ni bien ni mal, quand le bien et le mal est pouvoir.
Les pages d'une vie n'ont jamais été plus longues qu'un destin subis d'une page.
Que la fin me délivre !

Ce sont là les entités idéelles qui symboliseraient le mieux l'histoire que j'ai à vous raconté. Une histoire qui enjambe continuellement cause perdu et vérité caché, comme elle enjamberai des cadavres à profusion.

Suis-je un monstre ?
C'est ce qu'une prophétie voudrait faire croire...
Une prophétie doit-elle toujours se vérifier ?
À combien de traumatisme pensez-vous pouvoirs tenir avant que votre demeure ne s'écroule ?
Nos certitudes sont aussi frêle et instable qu'un sentier de craie fondante...
Le destin, à-t il plus de sens que la vie lui même ?
L'antilogie de mon existence me ronge...

Du haut de mes 15 ans, je rencontre ses épreuves interrogatoire. Les réponses se cachent, un peu par ici et là. Quelque part entre le courage que vous aurez pris avec vous afin de suivre ces pages, et la force de subir à travers mes yeux : un tueur manipulateur, un ami comme traître, ainsi qu'un mage nécromancien. Tous prêt à nous tués aussi bien de l'intérieur qu'à l'extérieur...