Lorsqu'il s'agissait de la Mafia espagnole, pour beaucoup de choses, il n'y avait pas de deux sans trois.
Trois chefs de pègre, trois zones, trois années de paix. Une paix froide, glaciale, où tout le monde faisait en sorte d'éviter ses rivaux. Une paix instable mais qui durait.
Il aurait dû être évident que quelqu'un essayerait de profiter de la vulnérabilité de cette situation, et il n'y avait pas de deux sans trois pour ce fameux quelqu'un, les trois chefs de la Mafia italienne.