Titre : Grave robbers' chronicles ( Dao Mu Bi Ji, Tomb notes ou en francais : Journal d'un pilleur de tombes)
•Auteur: Xu Lei/Npss
•Langue d'origine: Chinois
•Traduction basée sur la traduction anglaise de MereBear (avec son autorisation)
•Adaptation: série the lost tomb 1 (2015)
Synopsis :
Il y a cinquante ans, des pilleurs de tombes originaires de Changsha, mirent à jour un parchemin de soie de la période des Etats combattants. Le parchemin contenait la position d'une tombe étrange datant de cette même période, mais le groupe de pilleurs rencontra un étrange incident sous terre, et presque tous furent tués.
Cinquante ans plus tard, le petit-fils d'un des pilleurs de tombe a découvert le secret dans le journal de son grand-père. Il décide alors de réunir un groupe de pilleurs de tombes expérimentés pour déterrer le trésor, mais personne n'était préparé à toutes les bizarreries qui les attendaient dans le tombeau : un cercueil suspect à sept étoiles, le cadavre du renard aux yeux verts, un cyprès hydre...
À qui appartient cette mystérieuse tombe, et parviendront-ils à trouver le véritable cercueil ? Pourquoi tant de mystères autour de cet endroit semblent ne pas pouvoir être résolus ? Quel est le lien entre l'étrange épave-tombeau au fond de la mer, l'arbre sacré millénaire des monts Qinling, et la tombe enneigée du Palais céleste dans les nuages, en haut des montagnes ? Quels mystères anciens se cachent derrière eux ?
J'étais le prince héritier du trône d'Oman.
Accusé à tort, on a fait de moi le traître de la couronne. Je suis resté enfermé sept années dans l'ombre de la plus noire des prisons d'Oman, et le temps aura suffi à développer ma haine envers mon propre pays.
Alors c'est dans la vengeance que mon cœur meurtri s'est formé. Et c'est comme ça que vous apprendrez à me connaître. Car je finirai par reprendre mon trône.
Mais que faire, quand des immenses yeux ambre de cette femme mon âme s'abreuve?
Car mon désir de tuer les miens pour récupérer mon trône est plus ardent. Alors qui brûlera en premier?
Noor ? Ou Nafir ?
𝓒𝔢 𝔱𝔯𝔬̂𝔫𝔢 𝔢𝔰𝔱 𝔪𝔦𝔢𝔫.