Me réveillant en reniflant l'odeur monstrueuse de la chambre d'hôpital, je ne peux pas m'empêcher de crier de douleur à la sensation de mes mains manquantes. J'ai pourtant l'impression qu'elles sont encore là, je les sent encore bouger en remuant mes bras. Je cache mon visage dans mon doux chandail pour éviter de continuer de suffoquer dans cette senteur de peinture trop forte. Je ne me rappelle plus de comment j'en suis arriver là mais cette odeur ne m'aidera pas avec la quelconque maladie que j'ai.All Rights Reserved