Le feu. Il est mon seul ami. La poignée de la porte se baissa, et je sentis un regard sur moi, un regard persans. Je décrocha mon regard de l'horloge en face de mon lit, et mes yeux se posa directement sur lui. Encore lui. L'infirmier de tout à l'heure. Il ne détourne pas le regard. Mais je vois très bien qu'il ne me regarde pas comme les autres ici. Il n'a pas de pitié pour moi. Il n'a pas se sourire hypocrite accroché à son visage comme un genre de masque. Une lueur passa dans ses yeux comme pour me dire "je te comprends". Un sourire sarcastique se dessina sur mes lèvres. Il me comprends hein ? Qu'est-ce qu'il pourrait bien comprendre de toute façon ?