Je ne vis que pour toi mais tu combats la mort pour tous tes écrits. Tu oublies la réalité, aspiré par ta torpeur tu imagines vies et contrées dont tu es seul à rêver. Tu imagines, invente, écris, tu dessines du bout de ta plume et donnes naissance à tant d'univers, d'histoires et contes, de femmes et d'hommes... Tu es souverain créateur de ces romans mais prisonnier de ta propre ferveur. Tu donnes vie à des personnages qui t'arrache la tienne. Et moi je t'aime, enfin, je t'apprécies... Car comment aimer l'écrivain attaché à tant de ces récits?