Histoire d'une psychopathe

Reads 933
Votes 208
Parts 13

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Mature

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Je n'ai jamais ressenti de culpabilité. J'ai pris plaisir à manipuler mon entourage. Je n'ai peur de rien. Je n'ai aucune émotion, je ne ressens rien. Lisez ce livre à vos risques et périls.All Rights Reserved

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Table of contents

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Content Guidelines

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J'avais enfoui son nom avec mes fantasmes les plus sales.* Et puis elle est réapparue. Elle portait une robe trop simple pour provoquer, et pourtant j'ai senti le feu. Elle a souri... et je me suis souvenu. De ce que j'ai toujours voulu. De ce que je n'ai jamais eu. Elle est à lui maintenant. À mon ami. Mariée. Protégée. Inaccessible. Elle m'appelle par mon prénom sans savoir qu'il brûle sur sa langue. Elle me regarde comme si j'étais un homme. Je ne suis pas un homme. Je suis le monstre qui veut la dévorer. Je la désire. Je la pense. Je la maudis. Je lutte. Je perds. Je lutte encore. Mais chaque jour elle s'approche un peu plus. Sans le savoir. Sans le vouloir. Et chaque jour je me retiens de la prendre là, contre tous, juste pour voir si elle peut encore sourire après ça. Je ne suis pas amoureux d'elle. Je suis obsédé. Et ce qu'on ne m'a pas donné... Je le prendrai.

Quand la mort a un regard, il ne reste plus qu'à apprendre à le soutenir. (Too epic to summarize, sorry not sorry)

Happiness is not for Doomed Lovers by asmodes

"Qu'est-ce que je voulais ? Toi. Pourquoi ? Aucune réponse si ce n'est une sorte d'instinct primitif me précipitant vers toi constamment, une pulsion aussi vitale et inconsciente que lorsqu'on prend une bouffée d'air." "Je t'aurais laissé faire n'importe quoi de moi car je t'appartenais, j'étais déjà à toi, c'était une idée nouvelle mais logique quand j'y pensais, elle me plaisait cette idée. Malade d'amour voilà ce que j'étais."

Providence: Erreur ou Coïncidence?✔️ by queen-mado

« Et si les coïncidences n'existaient pas. Et si nous marchions chaque jour, sans nous rendre compte, vers les lieux et les personnes qui nous attendent depuis toujours... » P. S. J'espère vraiment vous allez me donner une chance en lisant mon tout premier livre. ❤️ *En correction, afin de retirer toutes les fautes.*

Je n'ai jamais cru aux cauchemars éveillés. Je pensais que l'horreur avait des visages évidents : ceux des criminels, d'ombres qui vivent loin des gens comme moi, rangée, studieuse, future interne en médecine. Mais ce soir-là, tout a basculé. J'avais trouvé un simple petit sachet blanc sous le lit de Charlie. Ma petite sœur. Dix-sept ans. Trop jeune, trop fragile, trop belle pour ce monde. Alors j'ai fait ce que toute grande sœur ferait. Je suis partie le retrouver. Le responsable. Le dealer. Celui qui l'avait détruite. Je voulais le dénoncer, appeler la police, lui faire payer. Mais je ne savais pas que ce monde-là obéissait à d'autres règles. Je ne savais pas qu'en allant le chercher, c'était moi qui allais me perdre. Des larmes de sang, des roses sans épines, un corps sans molécules et une fin sans chapitre. Dans mon monde, personne ne s'assemble, mais tout le monde se ressemble.

Je croyais pouvoir comprendre les monstres, jusqu'à ce que l'un d'eux apprenne à lire en moi. Jusqu'à ce que l'un d'eux me regarde comme personne ne l'avait jamais fait auparavant. Il n'était censé être qu'un simple patient. Un 𝙢𝙤𝙣𝙨𝙩𝙧𝙚 parmi tant d'autres. Mais certains regards ne se laissent pas oublier si facilement. Surtout pas le 𝙨𝙞𝙚𝙣.

Histoire comme les autres, mais pas tout à fait. À vous de la découvrir... Bonne lecture.

J'avais huit ans. J'avais mal, j'avais peur, et je voulais mourir. Je pensais que tout allait enfin finir, quand les secours sont arrivés. Ils me demandaient de m'accrocher et, malgré moi, je les ai écoutés. D'un coup, il y avait du bruit partout : des hurlements, des sirènes, des ordres criés dans tous les sens... Puis, plus rien. Le noir était total. J'étais perdue, mais ma conscience me soufflait ces trois petits mots : "c'est ta faute". Je l'avais cherché. À cause de moi, ma famille avait été malheureuse, puis détruite à jamais. Ils me détestaient... Mais pas autant que moi je me détestais. J'étais coupable... Coupable d'exister. *NDA : si vous êtes un enfant ou un adolescent et que vous pensez être maltraité ou que vous pensez que quelqu'un l'est n'hésitez pas à en parler avec une personne de confiance ou à appeler le 119 (numéro d'appel d'urgences)* Cover by @blanspoir

SenSatiOn ForTE

J'avais enfoui son nom avec mes fantasmes les plus sales.* Et puis elle est réapparue. Elle portait une robe trop simple pour provoquer, et pourtant j'ai senti le feu. Elle a souri... et je me suis souvenu. De ce que j'ai toujours voulu. De ce que je n'ai jamais eu. Elle est à lui maintenant. À mon ami. Mariée. Protégée. Inaccessible. Elle m'appelle par mon prénom sans savoir qu'il brûle sur sa langue. Elle me regarde comme si j'étais un homme. Je ne suis pas un homme. Je suis le monstre qui veut la dévorer. Je la désire. Je la pense. Je la maudis. Je lutte. Je perds. Je lutte encore. Mais chaque jour elle s'approche un peu plus. Sans le savoir. Sans le vouloir. Et chaque jour je me retiens de la prendre là, contre tous, juste pour voir si elle peut encore sourire après ça. Je ne suis pas amoureux d'elle. Je suis obsédé. Et ce qu'on ne m'a pas donné... Je le prendrai.

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