Parendi était un homme odieux, grossier, laid et d'un physique assez ingrât. Il n'avait rien pour plaire à une femme. Son visage laid et son physique ingrât lui valaient des moqueries de son entourage. Toute sa vie, il la passa avec un sentiment de dégoût à son propre égard; il s'auto-répudiait. Mais, quand il atteint la trentaine, il fit la connaissance de Saïjéra ou du moins celle-ci fit sa connaissance. Une femme belle de figure et de corps. La nature et le destin, dans une intime complicité les unirent. En effet, Parendi et Saïjéra se marièrent. Mais, comme on le dit souvent, bonheur et malheur font toujours chemin ensemble. Ce faisant, la nature, toujours en complicité avec le destin complotèrent contre le couple Parendi-Saïjéra et, fit abattre sur eux le malheur. Saïjéra tomba dans une maladie incurable qui écourtait ses jours sur terre. Cette dernière et son époux ayant conscience de leur sort, vivaient et souffraient douleurement. Parendi, triste et perdu dépuis ce jour, se mit alors à écrire des poèmes traduisant tous ses sentiments et émotions. Quand Saïjéra sut que son époux écrivait pour s'exprimer, elle dit:《Tu écris pour t'exprimer. Moi aussi, je veux m'exprimer. Hélas, je ne peux plus écrire vu mon état. Tiens, je parlerai, et toi, tu écriras. Qu'en dis tu? Merci mon cher époux》. Parendi de concert avec cette dernière intitulèrent ce livre : Les Tourments.
"Chaînes Invisibles"
Qu'est-ce qui nous lie vraiment ?
Est-ce l'amour, la famille, ou la société ?
Elle et Lui vivent une passion dévorante, mais leurs cœurs sont prisonniers de chaînes que personne ne peut voir. À travers leurs regards, leurs luttes et leurs promesses, ils découvrent que la liberté ne s'obtient qu'en affrontant les peurs, les attentes et les secrets qui les enserrent.
Ensemble, ils cherchent à briser ces chaînes, même si cela les consume.
Un roman poignant qui explore le poids de l'héritage, le pouvoir de l'amour, et le courage qu'il faut pour s'émanciper de ce qui semble inévitable.
« On a tant abusé du regard dans les romans d'amour qu'on a fini par le déconsidérer. C'est à peine si l'on ose dire maintenant que deux êtres se sont aimés parce qu'ils se sont regardés. C'est pourtant comme cela qu'on s'aime et uniquement comme cela. Le reste n'est que le reste, et vient après. Rien n'est plus réel que ces grandes secousses que deux âmes se donnent en échangeant cette étincelle. »
Victor Hugo.