Mathilda est une jeune fille de 17 ans. Idéaliste et un brin naïve, elle se sent dépassée par les tâches quotidiennes à enchainer et peine à suivre le chemin que la société lui impose. C'est en pleurant le trop plein d'émotions accumulé qu'elle va se lier avec le libraire de sa rue. Ce grand-père va l'aider à prendre conscience de ce qui compte réellement à ses yeux. Certaines choses, enfouies au plus profond de nous, sont bien plus importantes qu'on ne le pense.
Lorsque j'ai découvert le thème du concours de cette année, « rêve », je n'ai pas hésité. J'ai pris mon crayon, mon carnet et j'ai commencé à noter toutes les idées qui me venaient. Pourquoi ? Parce que c'est un sujet qui me touche particulièrement. On a tous des rêves, à n'importe quel âge, certains réalisables tandis que d'autres sont si grands qu'ils nous semblent inaccessibles. Mon rêve est celui de Mathilda, je suis passionnée depuis petite par le dessin et j'aime écrire des histoires, à destination des jeunes principalement.
Je dédie cette bande dessinée à toutes les personnes qui souhaitent réaliser leurs rêves, celles qui cherchent la façon d'y parvenir, comme celles qui se questionnent encore.
Il y a certains jours qui sont plus difficiles que d'autres, où on est fatigué, fatigué de faire de notre mieux pour réussir. Parce que la vie est un chemin semé d'embuches et d'obstacles à surmonter. Pour certaines personnes, le chemin sera plus difficile, plus long. Mais de chaque quête, même celle qui se solde par un échec, on sort grandit. Il ne s'agit pas de trouver qui l'on est, mais de se créer.
« Tes rêves te demandent de risquer, de délaisser le confort, d'exister dans le monde, d'être différent, de déranger et de croire en toi. » M.C Turgeon. Ce n'est pas facile d'avoir un rêve. Mais il faut se donner les moyens de le réaliser, peu importe sa difficulté. Car si l'on y renonce, je pense qu'au fond, une part de nous le regrettera tou
Je m'appelle Sélène. J'ai bientôt douze ans. Ce que j'aime le plus ? Rêver. Pourquoi ? Eh bien, simplement parce que je peux m'évader, laisser mon esprit s'envoler. Et quand cela m'est permis, je ne peux pas m'empêcher de retranscrire ce que je vois dans mes rêves.
Bien des gens ont un journal intime. Écrire est un peu comme une délivrance, le moyen pour nous de confier nos états d'âme sans pour autant en parler à quiconque et sans avoir peur d'être jugé.
Pour ma part, ce sont mes rêves autant que mes pensées que je me plais à raconter à travers les pages de mon fidèle carnet.
Il est rare que je veuille me confier, mais ce songe que j'ai fait la nuit dernière n'arrête pas de me hanter. Ce n'est pas un cauchemar, mais je ne cesse pas d'y penser. Peut-être est-ce pour une bonne raison me direz-vous. Je vous laisse le plaisir de le découvrir par vous-même. Parce qu'il n'y a rien de plus magique qu'un rêve...
Et si les rêves nous apportaient un message qu'il nous fallait déchiffrer...
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Mots de l'auteure : écrit au collège, ce texte fait partie des premières écritures libres que j'ai rédigées. Le thème est un peu plus léger, c'est sans doute plus enfantin. Parfois ça fait du bien.