« Si un jour tu craques, que l'appel des abysses est trop fort, je serais là... ». Elle a confiance en moi, elle croit que je suis assez forte pour combattre cette envie régulière de retourner dans ce monde d'autodestruction. Il serait tellement plus simple de déposer les armes, arrêter le combat, accepter cette partie de moi et m'abandonner corps et âme dans ce plaisir douloureux. Mais ne serait-ce pas lâche, trop facile, devenir passive, ne plus rien contrôler ?