Il adorait voir son corps nu, fin et sculpté tel celui d'un danseur étoile, onduler avec souplesse entre ses mains, électrisé par le plaisir. [...] Il ne voyait pas en lui un homme, mais l'âme qui complétait la sienne dans l'absolu. Le souvenir des étreintes passées, Que chérissait l'âme esseulée, Ne comblait pas l'absence du bien-aimé. Et chaque jour l'amant délaissé, Dont la vie n'était plus que tourments, Rêvait d'être une étoile au firmament.