O: Ta mère est si protectrice. K: Ma mère veut surtout que tu me sautes Oyane. Lui dit-elle avant de lui prendre son verre de scotch des mains tandis que lui ne savais plus où se mettre. O: Quoi ? fit-il, feignant l'incrédulité. Dommage pour lui. Elle n'est pas stupide. K: Cette femme à calculer mon cycle. Commença-t-elle, le regard toujours rivé sur sa famille en mouvement en bas. Elle sait que si je le fais cette semaine, elle sera enfin grand-mère. C'est pourquoi elle t'a invité et que maintenant elle vous oblige à dormir ici. L'homme à ses cotées ne répondait rien. K: il y a donc deux possibilités. Elle vint alors plonger son regard dans celui de son ex pour mieux cerner ses réactions. K: Soit cette vielle folle t'a invité exprès sachant pertinemment que tu restais attiré par moi et que par conséquent, elle espère que je cède ne serait-ce qu'une nuit à tes avances, le temps que je m'en aille. Dans ce cas, tu es innocent et juste victime des plans ridicules de ma mère. Soit, elle t'a mis au courant... Elle le mettait visuellement sous pression. K: Et à vous deux, vous vous êtes entendu pour que tu me séduises cette semaine et qu'on couche ensemble sans protection. Et dans ce cas-là, tu es coupable de monter un complot contre moi avec elle. Elle voyait sa pomme d'Adam se mouver lorsqu'il avalait sa salive de travers. K: Mais tu ne me ferais pas ça, pas vrai ? Il se forçait à ne rien laisser paraitre. S'il mentait à cet instant, il savait qu'elle le saurais. Oyane pouvait mentir à n'importe qui, mais à elle, c'était peine perdue. Elle ne le connaissait que trop bien.
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