Arlayna, ma douce, ma belle, ne m'en veux pas, je t'en prie. Arlayna, je brûle de te faire souffrir, oui, je te hais, tu mérites ta douleur. Et même pire. Arlayna, qui es-tu ? Tu es peut-être un oiseau égaré, je ne sais pas, tu es douée, déterminée. Et c'est ce qui me fait chavirer. Mille et une voix se lient, s'entrechoquent, se caressent dans ma tête. "Qui êtes-vous ?"All Rights Reserved