« Parfois, la volonté de vivre est plus puissante que la peur. L'épidémie a frappé au pire moment. Personne ne s'y attendait. Personne ne l'a vu venir. Mais tout le monde s'est accordé sur un point: c'était une guerre perdue d'avance face à un ennemi bien plus grand et plus vicieux que nous. On a essayé, hein... mais quand on s'en est rendus compte, c'était déjà trop tard. On était foutus. Il n'était plus question d'exister mais de survivre. Autant être honnête : pas grand monde n'a survécu. » Quand les morts se relèvent, c'est l'humanité entière qui perd tout son sens. Car la sentence est impartiale là où le chaos règne.