Je raconte mon histoire, sans en rajouter, sans drama.
PLK est un personnage fictif.
Sujets traumatiques tout au long de l'histoire. TW non indiqué, à prendre en compte pour chaque lecteur et sa sensibilité.
EXTRAIT « Le futur blond ne perdit pas une minute pour se lever, suivit pas la jeune femme tandis que les deux autres restèrent dans le salon, souhaitant avoir la surprise. Elle régla la température de l'eau tandis qu'il se regardait dans le miroir, impatient mais surtout anxieux de voir le résultat. Elle l'invita à mettre la tête sous l'eau mais il resta immobile alors elle installa une chaise pour qu'il y prenne place afin qu'elle rince elle-même ses cheveux. C'était une position inconfortable pour Mathieu mais s'il était complètement honnête, il appréciait ce moment. Madeline semblait apaisée, concentrée sur un tâche, loin de ses pensées. Il la regardait sans gêne, s'arrêtant sur chaque particularités de son visage. Malgré les hématomes, il appréciait ses taches de rousseurs sur ses joues et ses lèvres roses actuellement mordues de concentration.
« Arrête de me regarder. » Il n'arrêta pas pour autant, souriant seulement. « Je ne sourirai pas avec une telle couleur de cheveux. » Il pouffa silencieusement tout en secouant la tête. S'il adorait bien quelque chose, c'était ses taquineries. « Fermes les yeux ou je te noie. » Il ne céda pas face à sa réprimande et ce fut Madeline qui posa sa paume sur ses paupières. Il n'eut plus le choix et elle put à son tour apprécier son visage, de ses grains de beautés à ses longs cils. « Merci d'être venu me chercher. » C'était qu'un murmure comme si elle lui disait un secret. « Je te l'ai déjà dis, je sais, mais cet après-midi me fait du bien. T'avais pas à le faire, surtout de revenir encore une fois. »
Tome 1 : Rusted Souls
Tome 2 : Phœnix Souls
« J'te jure que c'était elle. Elle marchait dans l'eau. E-Elle était là... »
Il voulait lui dire à quel point il l'avait trouvé belle comme au premier jour, à quel point il regrettait d'avoir abandonner leur histoire seulement parce qu'il voulait juste se punir d'être lui-même. Toutefois, il en était incapable parce que ça reviendrait à avouer que le monde ne tournait plus sans elle et que, finalement, la vie n'avait d'intérêt que lorsqu'elle était là.
« Écoute, Mathieu... Parfois, on veut tellement que quelque chose se passe qu'on a l'impression que c'est la réalité... mais honnêtement mec... combien de chances il y a que Lina soit en même temps que toi en Guadeloupe ? Une sur un million ? »