<< Pense à moi de la haut et dit moi quand je déconne s'il te plaît. J'ose espérer que tu es fier. Parce que sinon j'abandonne. >> Au delà de la souffrance, la maladie nous enlève ces moments simples mais heureux. Elle nous enlève une partie de notre joie. Quand le physique ne suis plus, Quand le mental faiblit et que la douleur dépasse tes rêves. Ce n'est pas une fin de vie correct. Et les regard de pitié doivent être pire. La maladie touche les proches. Car eux, voyent les changements. Il n'y a pas d'âge pour imaginer la douleur. Il n'y a pas d'âme pour subir ça. ● " On connaît ce besoin. Pour avancer, il faux ce lâcher. "