Lia, une jeune femme exhalant une once d'amertume méphitique : la dépression, cette dernière s'emparant de ce vide constant. Elle éternisait son postérieur de ça, ne voyant pas plus qu'un sombre trou noir, englobant les profondeurs des attendes de vie : faibles soient-ils. Les anicroches conglomèrent à un sommeil éternel : les songes de cette sage protagoniste se résumaient à cette ardeur.
« La traversée de mes larmes démontre le chemin de mes peines »
Et de cela, un jeune homme demeure une vie belliqueuse, passant le peu de temps qu'il conserve, à tuer des mauvaises personnes pour l'argent. Il s'égratigne à maintes fois d'hics le long de ses besognes devoirs. Il sème intérieurement d'innombrables écorchures cérébrales dû péniblement à son terrible âge tendre, il arbore inconsciemment un compérage avec cette file qui bouleversera le restant de sa vie.
Celui-ci se dénomme Zak, et va devenir le fameux " garde du corps ", à notre jeune demoiselle un vulgaire estafier selon ces propos.
Mais l'entente n'est pas prête de transpirer.
Puisque tout deux, ne respectant pas leurs proximités instaurées, rencontreront de fines contraintes figurant une atroce lapalissade, cette dernière ne souhaitant pas apparoître sous leurs yeux.
Endéans ces chronophage journées, combattant incurablement l'écueil, une panoplie d'objets, alternant avec des gadgets technologiques, vont mobiliser leurs corps sous la pusillanimité infernale, qui semblait s'accroître d'heures en heures, de la jeune femme doté de 19 ans, perplexe. Toutes ces bagatelles inusitées s'avéreront itératives, domptant au sein de son corps une composition d'indemnes craintes, d'affolement irréguliers.
Mais un avenir déséquilibrée s'intronisera impétueusement son avenir.
Somme toute, qu'elle était la source de ses anomalies constantes, et qui en était le catalyseur de la totalité de cet engouement ?