« ðð¶ðºð²ð¿, ð°'ð²ðð ð®ðŽð¶ð¿. » - ððªð€ðµð°ð³ ðð¶ðšð° - ðð€ðµðŠðŽ ðŠðµ ðð¢ð³ð°ððŠðŽ
Ana y croyait.
Elle confondait aimer et lutter.
Comme si la douceur n'avait de valeur qu'aprÚs la tempête.
Comme si l'amour n'existait que dans la douleur de le garder.
Elle l'a aimé jusqu'à s'oublier, et s'est oubliée jusqu'à aimer ce qui la détruisait.
« ð'ð®ðºðŒðð¿ ð»ð² ððŒð¶ð ðœð®ð ð®ðð²ð° ð¹ð²ð ðð²ðð
, ðºð®ð¶ð ð®ðð²ð° ð¹'ð®Ìðºð². » - ððªðððªð¢ð® ðð©ð¢ð¬ðŠðŽð±ðŠð¢ð³ðŠ - ððŠ ðð°ð¯ðšðŠ ð¥'ð¶ð¯ðŠ ð¯ð¶ðªðµ ð¥'ðŠÌðµðŠÌ
Nabil y a cru lui aussi.
Il confondait lumiÚre et reflet, vérité et illusion.
Il l'a aimée sans la regarder vraiment, trop prÚs pour la comprendre, trop loin pour la fuir.
Chez lui, l'amour ne connaissait pas de juste milieu : c'était tout ou rien, embrasser ou détruire, se perdre pour elle ou la perdre pour de bon.
« ðð² ð¹'ð®ðºðŒðð¿ ð®Ì ð¹ð® ðµð®ð¶ð»ð², ð¶ð¹ ð»'ð ð® ðŸð'ðð» ðœð®ð, ð²ð ððŒððð²ð»ð ðŒð» ð¹ð² ð³ð¿ð®ð»ð°ðµð¶ð. » - ðªð¯ðŽð±ðªð³ðŠÌ ð¥ðŠ ððªðŠð³ð³ðŠ ðð©ð°ð¥ðŠð³ðð°ðŽ ð¥ðŠ ðð¢ð€ðð°ðŽ - ððŠðŽ ððªð¢ðªðŽð°ð¯ðŽ ð¥ð¢ð¯ðšðŠð³ðŠð¶ðŽðŠðŽ
Et finalement, c'est celle-ci qui disait vrai.
Ils l'ont franchi, ensemble.
à force d'aimer, elle a fini par haïr.
Et à force de haïr, elle a compris qu'elle n'avait jamais cessé d'aimer. All Rights Reserved
Read more