J'ai cru à une de ces bonnes blagues que tu me jouais parfois. Tu te cachais derrière un buisson, un arbre et moi, je venais te trouver. Tu faisais souvent cette danse un peu bête, et je te suivais, parce que c'était drôle. Jouer, danser, s'amuser... C'est ce que fait une famille. Et sans que je ne le remarque, tu es parti. Comme ça. Sans un mot. J'ai espéré que tu reviennes. De longues heures. Mais dès que la nuit est tombée, j'ai compris que ça ne serait pas le cas. Alors a commencé l'attente. ___________________________ Nouvelle rédigée pour la journée mondiale de lutte contre les abandons d'animaux domestiques.