Les yeux ouverts sur le vide de l'obscurité, vous fixez le mur ou le plafond en attendant vainement que vos paupières s'alourdissent et finissent par s'affaisser. Vous tentez de compter les moutons. En vain. De guerre lasse, vous vous emparez de votre smartphone ou rallumez la lumière, avec la certitude que vous paierez cet éveil prolongé au prix fort le lendemain, harassé de fatigue. La scène vous paraît familière.
1 part