Après une rupture dont il a encore du mal à se remettre Cameron postule sans trop y croire à une annonce pour aller travailler, pendant la saison d'été, dans un ranch de luxe dans le Montana, à deux États de chez lui. Surprise, suite à son entretien téléphonique il est embauché au Ranch Rocket Creek.
Il doit partir précipitamment et quitter Seattle, sa ville natale, afin de pouvoir repartir de zéro dans un environnement qu'il ne connait pas mais qu'il a hâte de découvrir.
Il va faire la rencontre du ténébreux Bill, un cowboy qui compte bien lui mettre le grappin dessus. Il va devoir aussi partager sa chambre avec un certain Tekoa, un macho hautain qu'il déteste.
Malgré des paysages à lui couper le souffle et un environnement de travail familial, va-t-il réussir à tourner la page et à vivre l'aventure qu'il cherche à vivre ?
Et s'il suffisait de lâcher prise et de se lancer dans l'inconnu pour se trouver réellement ?
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Cette histoire est une romance homosexuelle, elle aborde les ruptures, la découverte d'autres cultures, le racisme, l'acceptation de soi, l'amour. Elle se déroule principalement dans le Montana. Même s'il existe et que certains détails sont vrais, ceci reste une fiction. J'espère que l'histoire vous plaira, j'ai eu du mal à quitter Nathan et Tommy ("Pour Demain"/"Après Demain"), mais je suis contente de vous proposer un nouveau texte original.
Belle Lecture et merci de votre soutien.
Liam Leclerc, artiste peintre accompli du haut de ses vingt-sept ans, n'a toujours eu d'yeux que pour Adaliah, sa muse, qu'il n'a pourtant vue que dans ses rêves ces dernières années. Lorsqu'il apprend la mort de son père, le contraignant à retourné dans son village natal, le cours de sa vie en sera boulversé à jamais mais est-ce pour le meilleur ou pour le pire ? Sa rencontre avec Stanislas ne remettrait-elle pas en question sa vision de l'avenir ?
Entre nouvelles rencontres, trahisons et sexe,
Liam ne sera pas au bout de ses surprises.
« -Je sais que ce ne sont pas tes rêves, ajoutais-je d'une voix plus basse, les yeux remplis de larmes. Mais ce sont les miens.
-Non. Ce sont les nôtres. »