Bella, jeune femme repliée dans l'ombre avec sa mère pendant les ravages de la Première Guerre mondiale, découvre le journal intime de sa mère après que cette dernière ait été tragiquement tuée. Leur cachette, autrefois un refuge contre les horreurs de la guerre, devient le théâtre d'un drame familial douloureux.
La tristesse pèse lourdement sur Bella alors qu'elle apprend que son père, autrefois un soldat censé les protéger, s'est révélé être un traître. La confiance brisée, la famille déchirée, Bella se retrouve à poursuivre la vie clandestine avec le fardeau de la trahison.
Au fil des pages du journal de sa mère, Bella explore le passé, découvrant l'amour, la perte, et la complexité de la nature humaine. Chaque mot écrit devient une catharsis, un moyen de faire face à la douleur de la trahison et de perpétuer la mémoire de sa mère. Dans l'ombre de la guerre et de la tristesse, Bella trouve la force de témoigner de l'histoire, créant ainsi un héritage poignamment marqué par la tragédie familiale et la résilience individuelle.
"Chaînes Invisibles"
Qu'est-ce qui nous lie vraiment ?
Est-ce l'amour, la famille, ou la société ?
Elle et Lui vivent une passion dévorante, mais leurs cœurs sont prisonniers de chaînes que personne ne peut voir. À travers leurs regards, leurs luttes et leurs promesses, ils découvrent que la liberté ne s'obtient qu'en affrontant les peurs, les attentes et les secrets qui les enserrent.
Ensemble, ils cherchent à briser ces chaînes, même si cela les consume.
Un roman poignant qui explore le poids de l'héritage, le pouvoir de l'amour, et le courage qu'il faut pour s'émanciper de ce qui semble inévitable.
« On a tant abusé du regard dans les romans d'amour qu'on a fini par le déconsidérer. C'est à peine si l'on ose dire maintenant que deux êtres se sont aimés parce qu'ils se sont regardés. C'est pourtant comme cela qu'on s'aime et uniquement comme cela. Le reste n'est que le reste, et vient après. Rien n'est plus réel que ces grandes secousses que deux âmes se donnent en échangeant cette étincelle. »
Victor Hugo.