Le bonheur, un songe en candeur, où s'embrase la ferveur, peut-on, par vers, définir cette lueur qui fait chaleur ? L'amour, un rêve en velours, où le cœur s'ajoure, peut-on, en vers, décrire la grandeur de sa valeur ?
Ces émotions, universelles en essence, résonnent de manière unique chez toute conscience, tissant des réponses aux échos divins, béni par l'expérience d'un chacun.
Certains découvrent le bonheur au sein d'artefacts matériels ; une minorité, plus discrets, enlacent l'idée que la clé secrète réside dans une existence soustraite aux regards superficiels ; tandis qu'une poignée privilégiée savoure cette béatitude dans les simples faits de l'existence.
Quant à l'amour, des voix clament que la famille incarne l'élixir sacré de l'affection ; parallèlement, quelques-uns l'appréhendent au travers de la présence d'un amant dévoué, persistant dans la santé comme dans la maladie ; d'autres, quant à eux, discernent son incarnation à travers les liens profonds qui s'établissent avec des amis à l'éternel liaison.
Pourtant, que conter des âmes égarées, qui, dans l'ombre, n'ont goûté que peines enlacées. Ont-elles croisé le malheur, la froide hostilité, ou dissimulent-elles l'espoir, compagne d'intimité ?
Alors, peu importe la réponse qui en découle, aurai-je, d'une ultime bravoure, la force de saisir la flamme des lumières qui secourent, de quitter les rangs des éloignés, ô moi, Charles De Florimond ?