Tout bouge et se meut constamment autour de nous. Lire semble réservé à quelques âmes vues comme des parias, et la poésie n'en parlons pas. La chute est longue et lente. Elle emporte les langueurs des hivers froids, la fatalité des Hommes et leur déchéance. Pour espérer changer des choses, il faut déjà accepter de les voir telles quelles sont sous nos yeux. Ne pas plisser, cligner ou fermer les paupières pour s'en protéger, mais bel et bien tout prendre, tout saisir, tout accepter. Notre instinct finira par s'éveiller...