Inspiré de faits réels, « Le Dernier Printemps » se déroule en 2014, en Algérie. Les membres de la famille "Rebai" vivent heureux tous ensemble bien que "Rabie", le mari de "Rawda" et père de deux garçons "Sofiane" et "Riad" et de cinq filles "Hasna", "Amel", "Rawya", "Rahik" et "Hiba", travaille dans une ville loin de chez lui. "Rabie" s'assure de toujours garder un équilibre entre sa solide vie de famille et son travail d'entrepreneur. "Amel Rebai", une diplômée en informatique travaillant maintenant à l'université, raconte l'histoire de son père qui a été diagnostiqué de "SLA" en 2015 après une série de symptômes apparus au début de l'automne 2014. Une maladie qui bouleverse leur vie de famille et qui leur fait vivre leurs moments les plus bas, les obligeant à s'adapter à l'état de leur père. Croyant au destin de Dieu de changer le pire en meilleur, la famille "Rebai" donne tout ce qu'elle a pour aider "Rabie" qui se trouve dans une situation pénible. De la "Tunisie" à la "Turquie", et passant par la "Chine", "Rabie" combat la maladie de la "SLA" avec chaque lueur d'espoir, entouré de sa famille et de ses amis. Positivité, résistance et fidélité à Dieu face à une situation sanitaire délétère causée par une maladie mortelle. Les relations familiales, la dévotion, les sacrifices, l'espoir, les prières et la persévérance, tout cela est représenté dans ces séquences d'événements. *"La raison pour laquelle j'ai décidé de résister et de m'engager à suivre tous ces traitements, est parce que vous étiez tous plongés au plus profond de mon esprit. Je combats cette maladie pour être autour de vous aussi longtemps que Dieu le veut"* *Un remerciement spécial à "Amel Rebai" pour sa collaboration continue malgré la difficulté de relater chaque détail évoqué dans cette histoire véridique. Elle a joué le rôle d'une conteuse au ton effervescent.*