𝘓𝘦 𝘷𝘦𝘯𝘵 𝘧𝘳𝘢𝘪𝘴 𝘥𝘶 𝘮𝘢𝘵𝘪𝘯, nouvelles.

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Parts 6

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jaimeécriredesnouvelles nouvelles one-shot original originalstory writing xreaders écriture

« Je m'étais endormi la nuit, près de la grève.
Un vent frais m'éveilla, je sortis de mon rêve. »
Victor Hugo.All Rights Reserved

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Table of contents

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#192originalstory

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« Tu n'es plus là où tu étais, mais tu es partout là où je suis. » Je hais cette citation, je la hais parce que je sais au fond de moi, que Victor Hugo a raison. Il n'est plus à mes côtés pourtant où que j'aille, quoi que je fasse, il est là... Il est là, comme cette douleur en moi qui me tue à petit feu. Depuis ce jour, j'erre entre mes attaches extérieures et mes démons intérieurs. Dans cette forêt, témoin de mon vécu et de mon amour, je me raccroche inlassablement à mes anciennes images et à cette tornade de sentiments... La jeune adolescente que j'étais, n'existe plus. Je ne suis plus rien, juste une âme errante entre lumière et obscurité, entre réalité et souvenir, entre eux et lui... Malheureusement, je n'ai plus le même espoir que William Shakespeare qui s'évertuait à dire : « L'esprit oublie toutes les souffrances quand le chagrin a des compagnons et que l'amitié le console. » Il n'a jamais perdu l'Amour. Merci à ma super Team pour leurs corrections, leurs aides et leurs avis... Lilou-Ann vous remercie sincèrement de l'avoir soutenue :)

J'ai rêvé la nuit dernière que je retournais en Russie. J'ai rêvé que là où autre fois se trouvait l'allée, une jungle dense et torturer avait poussé. Comme si la nature avait repris ses droits et pourtant la maison demeurait toujours là. Secrète et silencieuse telle qu'elle l'a toujours été. Comme dans tous les rêves je pouvais naviguer dans mes souvenirs, traversant les moments comme on traverse un pont. Remontant jusqu'à cette époque lorsque j'étais innocente et ignorais tout de la noirceur de ce monde. Je revois si distinctement la fille que j'étais même si je sais qu'elle ne reviendra plus et je me demande ce qu'aurait été ma vie si je ne l'avais pas connu. Sans lui. C'est drôle de penser que le cours de mon existence ne tenait qu'à un un fil et à la poisse qui me collait aux os. Sans elle je ne serais jamais allée en Russie, je ne l'aurais jamais rencontré lui...

Des histoires qui vous emmènent dans le monde de la science-fiction by Chamssamohamedsougeu

Ma vie est devenue comme une histoire réelle. Mais malgré tout, je ne sais plus par où commencer maintenant. Car je suis malade, mes jambes me font souffrir. Je suis déçue, très faible. Je n'arrive plus à écrire de la poésie comme avant... mais ? Toutes les portes sont fermées pour guérir ma maladie. Pourtant, j'ai confiance - une certitude - en mon Dieu, Car Il est mon espérance, la lumière de ma vie. Comment une nouvelle journée pourrait-elle commencer ? Je Lui demande seulement une porte ouverte... Pour guérir mes jambes, car Toi, ô mon Dieu, Tu es le seul docteur, Celui qui m'a envoyé cette maladie, et Toi seul peux m'en libérer. Ô mon Dieu, je Te supplie... Guéris-moi. Et si la douleur était un passage ? Un pont vers un renouveau que je ne comprends pas encore ? Et si mes larmes étaient des graines Que Dieu arrose doucement, en silence, dans l'attente d'une fleur inconnue ? Je ne suis pas finie. Je suis en transformation. Je suis ce papillon encore enfermé, Mais ma foi, elle, vole déjà.ciel...

Je n'aurais jamais imaginé tomber si bas en enfer, pourtant, c'est arrivé. J'avais tant travaillé pour arrivé à une certaine stabilité, mais cet homme est arrivé dans ma vie et l'a réduite à l'état de cauchemar. Le hasard fait mal les choses, car si je n'étais pas passé par cette ruelle cette nuit-là, rien de tout ça ne serait arrivé. Je suis entrée dans ce monde qui ne m'appartenait pas, et j'ai brûlé mes ailes en enfer. DARKROMANCE

-Sache bien une chose... Il s'accroupit juste en face de moi , passe une mèche derrière mon oreille et me souris, son sourire était sans émotion, il était froid, il faisait peur, il me faisait peur - aussi longtemps que tu vivras, tu m'appartiendras et... De son indexe il pointa négligemment le chapelet dans ma main droite. - aucune divinité ne pourra rien y faire. Il se relève et d'un simple mouvement de tête à l'intention de celui qui m'a conduite ici de force, je fus debout. Les larmes ne cessaient de couler de mes yeux je... je voulais être loin d'ici, je donnerais tout pour être loin de cet homme. Il passa son pouce sur ma joue, recueilli une des larmes qui coulaient puis la passa sur ses lèvres. -Bienvenue en enfer Maleynah...

Ouvrez ce livre et découvrez des histoires Toutes droites sorties de mon imagination Souvent rêvées la nuit, dans le noir, Écrites malgré ma procrastination. Il est possible qu'au milieu de mes écrits, Se trouvent quelques fautes, N'hésitez pas à me le dire Pour qu'aussitôt je les ôte. Malheureusement mon inspiration S'en vient s'en va, et ne dure guère Alors je vous avoue avec résignation Que ma publication ne sera régulière Si jamais vous êtes occupés Ou que vous manquez de temps, Lisez les histoires avec une fée Ce sont mes meilleures je pense. Mes histoires sont souvent tristes, Parlant de mort ou de suicide, Vous ne trouverez rien d'humoriste Mais rien de trop horrible. Ce recueil est coupé en deux parties L'une pour les nouvelles ; la première La seconde pour la poésie J'espère que ça va vous plaire.

Quitter la France pour retourner sur la terre de mes racines, j'en rêvais depuis longtemps. Retrouver le soleil de l'Italie et les souvenirs de mon enfance j'en rêvais depuis mes 10 ans. Revenir ici en tant qu'institutrice et emménager dans la ville où se sont rencontrés mes parents, ça me faisait rêver. Mais du rêve au cauchemar la ligne est parfois trop fine Il a suffit d'une soirée, d'une fin de service et d'une rencontre pour que je tombe dans un monde dont j'ignorais son existence. Il est sombre, elle est lumineuse Il est l'obscurité, elle est la lumière Il est la nuit, elle est le jour Un seul des deux se fera consumer par l'autre... (Contenu mature, violent et explicite )

Ce que mon angoisse a su créer by polnonyme6

Je veux comprendre pourquoi le monde brûle. Je veux dénoncer. Je veux aller mieux. Je vais sombrer.

Je l'ai vu pour la première fois un jeudi soir, vers 1h du matin. Il pleuvait dehors, mais ici, comme toujours, ça sentait la sueur mélanger à des parfums, l'alcool de haut de gamme et la fatigue mal digérée. Je nettoyais le comptoir de l'étage sans vraiment regarder, juste assez pour éviter les mains qui traînent et les regards qui collent. Et puis je l'ai senti. Pas vu. Senti. Une présence. Lourde. Contrôlée. Comme une bête qui attend le bon moment pour mordre. Quand j'ai levé les yeux, il était là. Assis au fond, dans l'ombre. Il ne faisait rien. Juste fumer, observer. Pas comme les autres. Pas comme un type venu boire. Comme un type venu choisir. Il m'a regardée, sans sourire. Comme s'il savait qui j'étais. Ou pire, ce que j'essayais d'oublier. Et j'ai compris. Ce mec-là, c'était pas un client. C'était un problème. Un de ceux qu'on voit arriver trop tard. Je n'aurais pas dû le regarder une seconde fois. Mais je l'ai fait. Et c'est à ce moment-là que tout a commencé à partir en vrille.

Se noyer. Elle ne voulait que ça. Noyer sa peine. Un soir d'été, en cette date si importante, Emy ne pensait qu'à se laisser sombrer dans cet effroyable alcool. Mais alors qu'elle en était à son premier verre de ce whisky de mauvais goût, un homme d'apparence parfaite au regard froid vint à sa rencontre Pour lui, son monde n'avait jamais été aussi flou et sombre. Il avait beau avoir rêvé de ce moment, il se sentait juste vide. Pourtant, quand il la vit dans ce bar, son regard aussi vide que le sien le troubla. Sans savoir pourquoi, cette femme l'attirait. Et si cette journée épouvantable devenait la plus belle de leur vie ? Depuis un an, jours pour jours, sa vie s'était arrêtée au rythme de son cœur. Cela ne faisait que quelques heures, pourtant, Alec regrettait déjà. Ils n'attendaient plus rien de la vie. Mais celui qui ne voulait être sauvé devint son sauveur. Et celle qui se sentait se noyer dans sa peine fut sa bouée de sauvetage. Et si les étoiles avaient décidé d'enfin les rendre heureux ? Et si tout ce qu'ils avaient était l'instant présent ? *Not my owned picture* © Copyright déposé. Toute reprise sera sanctionnée.

Reborn without you

« Tu n'es plus là où tu étais, mais tu es partout là où je suis. » Je hais cette citation, je la hais parce que je sais au fond de moi, que Victor Hugo a raison. Il n'est plus à mes côtés pourtant où que j'aille, quoi que je fasse, il est là... Il est là, comme cette douleur en moi qui me tue à petit feu. Depuis ce jour, j'erre entre mes attaches extérieures et mes démons intérieurs. Dans cette forêt, témoin de mon vécu et de mon amour, je me raccroche inlassablement à mes anciennes images et à cette tornade de sentiments... La jeune adolescente que j'étais, n'existe plus. Je ne suis plus rien, juste une âme errante entre lumière et obscurité, entre réalité et souvenir, entre eux et lui... Malheureusement, je n'ai plus le même espoir que William Shakespeare qui s'évertuait à dire : « L'esprit oublie toutes les souffrances quand le chagrin a des compagnons et que l'amitié le console. » Il n'a jamais perdu l'Amour. Merci à ma super Team pour leurs corrections, leurs aides et leurs avis... Lilou-Ann vous remercie sincèrement de l'avoir soutenue :)

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