Ce n'était pas la première fois que Neuvillette ressentait la douleur de son corps après une journée de travail, un mal de tête après une séance trop sportif d'une course à pied, la sensation de l'orgasme qui le frappe pendant son plaisir intime. Mais ce n'était pas la première fois non plus qu'il essayait de pleurer, pour se soulager, pour sa santé mentale, pour détendre son corps, pour ses pensées intrusives. Pour lui. N'est-ce pas difficile, après une humiliation, d'exprimer ses sentiments les plus basiques ?