Ivanova, je n'ai que toi

La médecine légale n 'arrive même pas à déterminer réellement la "pire" mort.
L'un dira blanc; l'autre noir.

En pleine gare de Paris, station 4 septembre, une carcasse git encore sur les rails, brûlante à souhaits.
Plusieurs services sont dépêchés sur place dont la DGSI, au vu des suspicions d'acte terroriste.
Celui qui dit blanc s'appelle Yvan Marshall, à la tête de cette prestigieuse organisation, avec plusieurs années derrière lui, ce dernier commence à enquêter sur le lieu du crime.
Jusqu'à ce qu'elle dise noir.

C'est elle; Ivanova, en fin d'étude de médecine qui va interpeller l'homme depuis les rails pour lui faire part de son point de vue, en affrontant les remarques quand bien même, elle croit dur comme fer à sa théorie; c'est un drôle de suicide assisté.

Les deux protagonistes seront amenés à se retrouver, en effet, la demoiselle avait bien la clé de l'énigme suite au décorticage des caméras de surveillance; comment-est ce possible ?

Mis devant la fatalité et reconnaissant ses capacités, Marshall lui propose donc un stage pour parfaire ses études, elle se voit accepter pour essayer de se venger de cet homme, qui à priori, la sous-estimer.

Entre le serpent et le papillon, il n'y a qu'une chrysalide qui peut les sauver du règne animal.

Nous n'avons jamais été ennemis.
Ou presque.

Nous savons la fatalité.
Il y a pire que la mort.
Il y a nous deux.

Affaire classée.