Allemagne, 1933 Dans les ombres des laboratoires, où règne la froideur, je manipule la vie, sans une once de peur. Je crée des créatures, des armes de terreur, secrets de la guerre, nés dans la douleur. Des êtres façonnés, sans âme ni destin, des monstres de chair, fruits de mes desseins. La moralité s'efface, dans ce jeu cruel, où je me perds, dans un rêve artificiel. Les champs de bataille, autrefois pleins de bravoure, sont maintenant des lieux de cauchemar, sans amour. Les créatures se déchaînent, sans pitié ni remords, la nature se meurt, sous le poids de mes torts. Et dans ce chaos sombre, un murmure s'élève, un appel à la raison, à la fin de ce rêve. Que je me souvienne, de mon essence pure, avant que la science, ne devienne ma seule armure. Conçus pour servir avec dévotion. Destinés à abattre nos ennemis. Nous étions les armes de guerre du Führer. Et ces protecteurs... /!\ La couverture m'appartient /!\
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