Son pinceau allait et venait sur la toile, la tachant de beauté à l'esthétisme rare. Pourtant ce n'est cette toile blanche qu'elle désirait tant taché. Ce qu'elle désirait tant toucher n'était autre que cette peau blanche comme, dépourvu de toutes traces. Cette chaire à l'air délicat possédée par l'un des hommes les plus froids qu'elle n'eut vu. Alors, seule dans son atelier elle se répétait sans cesse « pourrait-il me laisser le tacher de mes mains sales pour, lui aussi, le remplir d'une beauté éphémère ? »Todos los derechos reservados