C'était une matinée comme les autres au lycée Saint-Jean. Le bruit des discussions animées des élèves, le son des casiers qui se ferment et les éclats de rire qui résonnent dans les couloirs créaient une ambiance familière. Je m'appelle Léa, et pour moi, cette routine quotidienne était une source de confort. J'aimais la stabilité de mon emploi du temps, la prévisibilité des cours, et les visages familiers de mes camarades. Mais ce jour-là, tout a changé.