Élevé dans la mafia, je n'ai connu d'autre vie que la violence froide et calculée et la discipline. Une vie où la brutalité est louée et la faiblesse ridiculisée, je suis devenu le meilleur de mes parents et le pire que le monde ait jamais connu. Jeune et toujours en train de prendre le contrôle de ma mafia, l'amour n'a jamais été une option pour moi, jusqu'à une nuit, lors d'un bal de la mafia, où j'aperçois une femme qui me met à genoux. J'en veux plus, plus, plus. Elle est téméraire et d'une beauté sournoise. Trop bien pour moi et pourtant la seule pour moi. Nous nous battons pour survivre et l'un pour l'autre car aucun de nous ne veut lâcher prise. •••••••••••••••••• Je m'assis à l'arrière, les jambes écartées, et la regardai, la tête penchée. Elle se lécha les lèvres et serra les sièges avant tout en me regardant. Je la tirai vers moi et elle gloussa en s'asseyant sur mes genoux. Ses jambes étaient de chaque côté de moi et sa respiration était saccadée. Je passai ma main sur sa joue et la tirai contre moi. J'embrassai ses lèvres et bientôt nos langues tournoyèrent. Affamées et brutales. Elle tint sa tête en arrière et je commençai à planter des baisers brutales sur son beau cou. « Est-ce que je suis une mauvaise influence ? » souffla-t-elle. Ses mains étaient sur ma nuque. J'arrêtai de l'embrasser et levai les yeux vers elle. « Tout le monde a besoin d'un peu de mal dans sa vie. » murmurai-je en retour, la faisant sourire. Mes mains trouvèrent sa taille et je remarquai que sa robe courte était remontée, exposant ses cuisses. Elle la portait pour me taquiner et j'adorais ça. Putain, j'adorais son corps. Elle souffla dans mon cou et je retirai sa robe d'un mouvement fluide. Mes mains étaient partout sur son dos, la sentant, la touchant. Sa peau douce me rendait fou. ________________________