L'été sur l'Île Émeraude était un poème déchirant, écrit en lettres dorées sur le sable brûlant. Je suis la scie, témoin des jours ardents et des nuits profondes où les souvenirs se formaient comme des empreintes sur la plage. Brooklyn, l'aîné, était une étoile distante, inaccessible et froide, son éclat éclipsant tout ce qui l'entourait. Il me traitait comme une gamine, ses paroles cinglantes comme des vagues glaciales. Chaque tentative pour le rejoindre semblait vouée à l'échec, les reproches et le mépris se mêlant aux jeux et aux défis.
Aiden, en revanche, était le reflet doux et réconfortant de moi-même. Sa compagnie était une source de joie sincère, ses rires, une mélodie d'innocence qui apportait du répit dans la chaleur étouffante de l'été. Avec lui, les journées se déroulaient dans une simplicité désarmante : des après-midis de bowling et des glaces au coucher du soleil devenaient des moments de pure harmonie.
Mais le Thanksgiving de cette année-là fut un tournant. Un accident tragique éclipsa les jours d'été insouciants, et les rires se figèrent dans un chagrin profond. Brooklyn, devenu plus amer et inaccessible, se détacha davantage, tandis qu'Aiden, mon ami fidèle, se rapprocha de moi. Une histoire d'amour naquit entre nous, chaque fois que je fuyais mes sentiments pour Brooklyn, Hayden était là pour les accueillir. L'Île Émeraude, symbole d'un temps révolu, demeura comme un souvenir éclatant, teinté d'une mélancolie poignante.
Aujourd'hui, je me retrouve pris dans ce triangle amoureux complexe entre deux frères. Brooklyn, que j'ai toujours aimé comme une étoile lointaine, et Hayden, que j'ai aimé comme un frère, deviennent les deux pôles d'une passion conflictuelle.
Mon cœur est partagé entre l'ombre froide de Brooklyn et la chaleur réconfortante d'Aiden, laissant mes sentiments dans un tourbillon de désirs et de regrets.
Un soir j'étais partie en boîte avec mes copines. J'avais bu jusqu'à faire des conneries. J'avais suivi une inconnue et passé la nuit avec elle.
Le lendemain je suis partie comme une voleuse en lui volant un tee-shirt, un pantalon et un boxer pour m'habiller après m'être doucher chez elle.
j'ai quitté sa maison en espérant de ne plus jamais la revoir mais c'est la que mon cauchemar a commencé.
Moi: Je vais prendre votre commande.
1: Une salade.
2: Pareil.
3: Un jus d'orange.
moi: Et vous?
elle: toi
moi: Désolé je ne suis pas dans me menue.
elle: Combien pour que tu deviennes ma pute personnelle?
je m'appelle Kathleen et voici mon histoire d'amour avec la détraqué...
gip
intersexe