« Chère journal,
Aujourd'hui comme tous les autre jour depuis 2 ans au final je m'étouffe,
Je me noie dans un océan sombre de culpabilité, de honte.
Je hais un peu plus chaque jour mon reflet dans le miroir, mais à l'université je feins tous, je mens et je peint une personne qui étais autrefois moi mais qui es morte,
Se soir quand dignité il m'ont pris il on aussi tuer celle que j'étais,
La mort me paraît chaque jour un peu plus douce,
Chaque minute un peu plus envisageable,
Et aussi un rêve que je ne peu qu'effleurer du bout des doigt. »
Elle referme sont journal, le serrant contre elle, dans un espoir vain d'allez mieux,
Pour ne pas courire à ça perte, mais l'espoir a quitté le navire il y a bien longtemps.
« chère caméléon, ou autrefois appelé journal,
Cela faisait un ans que je ne t'avait pas ouvert tu porte le poids de mes peine,
De mes péchés et pour ton malheur de toute ces acte d'auto sabotage,
Aujourd'hui un ans plus tard je vais mieux, si je survivais aujourd'hui je vie,
Comme on dit après la tempête viens le soleil et bien ces du Pipo chaque jour ces dur, me lever alors que j'étais dans un état comateux,
Le cerveau en bouillit, qui s'agenouille quand je passe dans le miroir,
Des cicatrice blanche décoré mon nombril et me donne nausée chaque matin,
Les psy on mentis dans un ans je n'irais pas mieux,
Spoil alerte on n'est un ans plus tard, et je me bats pour vivre. »
Il jetent ce vieux carnet contre sont bureau, écoutant le tic-tac incessant de là vielle horloge,
Celle qui lui rappel constamment qu'il ne dors toujours pas,
Mais impossible de dormir quand le mensonge de ta vie te bousille.