Moi c'est maxime, et j'ai vraiment besoin d'extérioriser. Alors en plein milieu de la soirée je me pause dans un coin et j'écris dans mes notes iPhone : << Seul dans un lit qu'est pas l'mien, Petit biscuit envoi la cuite au second rang Drôle de signature du destin, Quand je le vois bouger ses hanches. Une tangente que la vie à courbé, Qui continue de tracer, Dans le silence de ses pensées, La voiture a accéléré. J'ai pris sa mains, Comme on prend une claque, Deux cons perdus dans les sons, Qui se laisseraient jamais abattre. J'l'ai embrassé. Pas comme on embrase un fraisier, Juste comme on apaise, les pensées. "J'aime ton âme " En une seconde murmuré, C'est lui le vrai poète, J'dois avoir des airs de, Promesses Bref, ce soir J'ai pleuré d'espoir >> [Contexte : Maxime et Sidjil sont amis d'enfance, dans un univers alternatif. Les deux copains se perdent dans les nuances d'une relation de plus en plus embigue.] (Cette fic n'illustre en rien la réalité, et n'a pas pour but d'attiser la haine. Elle sort entièrement de mon imagination. Elle sera supprimée s'il en est fait la demande.) 28/10/24