À Chô-Seon, il portait un nom à douces consonnes tintantes avec ses voisines, voyelles, Ji-Min, un homme dont on ne croyait, pourtant, que le pire. Coeur à torrents. Esprit à noeuds. Pleurs aux cils. Son souffle anarchique soulevait son derme harcelé de piques et de flèches, et d'objets dont il ne distinguait jamais la forme. Ses joues, roses et tout en courbes, se faisaient les témoins d'un quotidien sinistre et impénétrable où les voix dans sa tête gagnaient sa raison.
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