""Dans un trou vivait un Hobbit."
Oups, déjà pris.
Mais avouons-le, ça sonne quand même mieux que :
"Dans une chambre de bonne vivait une fille d'un mètre soixante."
Et puis je ne dois pas être si loin du hobbit, en taille du moins, pas les pieds poilus, beurk. Et je n'ai pas de Sam Gamegie pour me réchauffer la nuit.
Je vous vois venir les puristes de la première heure, qui me diront : « Ce n'est pas le début du Seigneur des anneaux ça, c'est le début du Hobbit et Sam n'est pas dedans. »
Je le sais, je l'ai lu moi aussi, figurez-vous.
Mais je voulais subtilement introduire mon célibat et le parallèle me paraissait drôle, bref.
Je recommence.
"Dans une chambre de bonne vivait une jeune femme (c'est mieux que « fille ») d'un mètre soixante. Célibataire endurcie, elle partageait tout de même sa couche avec un magnifique Jack Russell mal dressé qui prenait toute la place dans le lit. STF (Sans travail fixe pour les intimes), elle attendait que le job de ses rêves lui tombe tout cuit dans la bouche et que le père Noël lui amène un Henry Cavill tout bien emballé pour Noël. Mais les mois passaient, Noël était encore loin et aucun Job ne tombait du ciel. C'est pourquoi ce matin, elle avait revêtu sa plus jolie robe noire, emportée son plus bel attaché-case et allait quémander du travail à un café ou un bar assez stupide pour embaucher quelqu'un qui avait deux mains gauches. Car oui, à Woodstak, très loin de la Comté, les gens avaient besoin de travailler pour gagner de l'argent."
Alors contents ? »
Stacey est une sorcière. Mais pas une de celle qui se balade sur un balais, avec un nez crochu et qui dévore des enfants dans des maisons en pains d'épices. Elle préfère utiliser ses dons pour résoudre des enquêtes insolubles grâce à sa magie. Mais chut... personne ne doit le savoir. Pas même Noah son séduisant maitre de stage qui lui aussi cache un secret...
Quand Marise déménage avec sa mère dans la ville de San Pedro, à des milliers de kilomètres dans le sud du pays, elle ne s'attend à rien.
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Alors, quand sa mère lui annonce qu'elles vont y habiter, pour parfaire son union avec son propriétaire, Joseph Ravel, Marise s'inquiète sincèrement.
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