Dans un monde où la beauté se mêle à la violence, Calypso, fille d'un célèbre mafieux a hérité des talents de son père, l'un des plus grands de son temps. Grande solitaire, elle préfère passé une journée seule en train de torturer plutôt que de se pavaner lors d'une soirée.
Alessio, ennemi juré de cette dernière, enchaîne les filles comme il enchaîne les meurtres. Il tue sans se soucier de l'autre devant lui, désobéissant à tout va, dès qu'il en l'occasion.
Ils vont malgré tout devoir faire preuve de solidarité s'ils veulent déjouer les tours d'un second gang, qui est prêt à tout à les démonter pièce par pièce. Pour ce faire, rien de plus simple : se faire passer pour un couple marié, fou amoureux, qui sont prêts à tout pour se venger de leurs membres de familles tués par le gang ennemi.
Mais c'est dans ce monde sans pitié, qui regorge de ses plus grands secrets que l'on a besoin de quelqu'un sur lequel se reposer en cas de besoin.
Et si, malgré leurs différents, leurs deux âmes écorchées, battues et écorchés par la vie, Calypso et Alessio pouvaient trouver entre eux un moyen de réconfort ?
Et si, ils n'étaient pas si différents que ça ?
Et puis, n'y a t-il pas qu'un pas de la haine à l'amour ?
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Halia tient une jolie bibliothèque familiale alors que ses parents sont en voyage. Elle arrive à jongler entre la gestion de ce petit paradis et ses cours. Elle arrive même à sortir le mystérieux inconnu, qui lui rend visite tous les jours, du mutisme.
Mais tout bascule lorsqu'elle subit une attaque de créatures abominables tout droit sortie du Tartare. L'inconnu, timide jusque là, se montre bien plus connaisseur et courageux qu'il n'y paraît.
Et elle risque d'être encore plus que surprise lorsqu'il l'emmène à travers le miroir ...
Halia qui a toujours été plongée dans les rêves entre deux pages de livre, se retrouve dans un vrai cauchemar qu'elle seule peut arrêter.
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Il affiche un sourire fière en regardant ma poitrine, je le suis du regard et remarque que la pointe de son épée s'enfonce, de nouveau, au niveau de mon cœur.
- Perdu, petite Nymphe
Je lui rend son sourire fière et espiègle. Ce qui a l'air de le rendre mal à l'aise. Je hausse un sourcil en baissant les yeux sur sa gorge.
- Vous aussi, petit prince
Il baisse alors également les yeux sur le bâton, qui se trouve juste sous sa jugulaire.
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