Jeanne, un évêque albinos de 24 ans et accessoirement le plus jeune évêque jamais nommé. Il n'osera jamais se l'avouer, pourtant, malgré ses responsabilités, il désir plus que tout rattraper son adolescence perdu et ainsi profiter de sa jeunesse. Pour lui, ce n'est qu'un rêve, son rôle bien qu'étouffant, nécessite toute son attention afin de s'occuper de l'église et de supporter ses conseillés bien que détestable a son gout. malgré la fois qu'il porte envers son dieu depuis son plus jeune âge, ses pensées égoïstes continuent de lui hantée l'esprit et son envie d'enfin succomber a ses désir ne fais que croitre lorsqu'il rencontre Rose.
Rose, une étudiante de 23 ans au caractère bien trempé et au look plutôt original. Elle veut devenir psychologue mais elle se verrais bien écouter autre chose qu'un vieux professeur raconter ses cours d'une voix monotone plus puissant que des somnifères. Si il y'a bien une chose qu'elle déteste, c'est qu'on lui dise ce qu'elle doive faire et l'arrivé d'un évêque qui apprécie particulièrement que ça file droits va lui faire l'effet d'une douche froide. Pourtant, elle veut simplement profiter des derniers instant de sa jeunesses pour faire toutes les choses qu'on lui avait interdite de faire et ce n'est pas un simple évêque qui va lui empêcher de faire ce qu'elle veut.
Entre curiosité, envie et jalousie, ces deux âmes ce confronteront dans bien des situations.
"Chaînes Invisibles"
Qu'est-ce qui nous lie vraiment ?
Est-ce l'amour, la famille, ou la société ?
Elle et Lui vivent une passion dévorante, mais leurs cœurs sont prisonniers de chaînes que personne ne peut voir. À travers leurs regards, leurs luttes et leurs promesses, ils découvrent que la liberté ne s'obtient qu'en affrontant les peurs, les attentes et les secrets qui les enserrent.
Ensemble, ils cherchent à briser ces chaînes, même si cela les consume.
Un roman poignant qui explore le poids de l'héritage, le pouvoir de l'amour, et le courage qu'il faut pour s'émanciper de ce qui semble inévitable.
« On a tant abusé du regard dans les romans d'amour qu'on a fini par le déconsidérer. C'est à peine si l'on ose dire maintenant que deux êtres se sont aimés parce qu'ils se sont regardés. C'est pourtant comme cela qu'on s'aime et uniquement comme cela. Le reste n'est que le reste, et vient après. Rien n'est plus réel que ces grandes secousses que deux âmes se donnent en échangeant cette étincelle. »
Victor Hugo.