Chronique de Soumaya《Il me disait wsh je répondais wa Aleykoum salem》
8 parts Ongoing Ah mon frère, l'histoire de Soumaya, c'est un truc de malade, mais avec une vibe qui mélange la street et un peu de poésie. La go, elle revient après 6 années d'absence, et direct, le grand reuf Ibrahim, son propre sang, il lui tourne le dos. Pourquoi ? Parce qu'il la tient pour responsable de la mort de leur père. Ouais, t'imagines ? Ta famille, ton sang, qui te regarde comme si t'étais un poison. L'ambiance, c'est plus glaciale que l'hiver à 4h du mat', un silence qui te perce le cœur.
Et là, bam, l'amour débarque. Soumaya, elle croise un gars. Mais pas n'importe quel gars, hein, c'est celui qui te retourne l'âme et te fait rêver en plein cauchemar. Ils s'aiment, c'est fort, c'est beau, mais c'est interdit. Parce qu'Ibrahim, il est là, comme un mur entre eux, prêt à tout pour les séparer. Et toi, t'as envie de crier : "𝘔𝘢𝘪𝘴 𝘱𝘰𝘶𝘳𝘲𝘶𝘰𝘪 𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘥𝘦 𝘩𝘢𝘪𝘯𝘦, 𝘪𝘣𝘳𝘢𝘩𝘪𝘮 ?"
Mais attends, c'est pas fini. Y'a des secrets, des vérités qui éclatent comme des bombes. Soumaya, elle découvre des trucs sur Ibrahim, des trucs qui la brisent en mille morceaux. Elle pleure, elle tombe, mais elle reste digne, comme une reine au milieu du chaos. Chaque pas qu'elle fait, c'est un combat contre elle-même, contre la douleur, contre le regard des autres.
L'histoire de Soumaya, c'est pas juste une histoire, c'est une fresque. Une tragédie moderne où la cité rencontre les vers. Une bataille où l'amour, la haine, le pardon et la trahison s'entrelacent comme une danse macabre. C'est du feu, du poison, du miel. Ça te prend aux tripes, ça t'envole et ça te ramène au sol. Prépare-toi à entrer dans un tourbillon où le béton de la street rencontre la plume de l'art. Un mélange de passion et de désespoir, digne des grands récits... mais avec une touche de quartier.